Film de JOSUE : conquête de Jéricho

Publié le par Régis N'DOSSANI L.

Voici le film de la conquête de Jéricho, par Israël, pendant la conquête de la terre promise par le peuple de Dieu. Ce film, bien que ne relatant pas strictement de façon scripturaire ce qui est écrit, nous donne au moins une idée de ce que cela a été. Que Dieu vous bénisse pendant que vous le regardez, et surtout retenez l'enseignement qu'il véhicule. Prochainement nous mettrons un enseignement biblique de la conquête de Jéricho.

 

 
 
Les fouilles de Jéricho, entreprises en 1912 par des savants allemands, avaient été interrompues pendant la guerre. Elles furent reprises en décembre 1929 par le savant anglais, John Garstang, professeur d’Archéologie à l’Université de Liverpool. Sir Charles Marston fut le principal animateur et bienfaiteur de ces travaux coûteux; les amis de la Bible lui doivent, ainsi qu’à feu Lord Melchett, une grande reconnaissance.
Les fouilles se sont montrées riches en heureuses découvertes, toutes confirmant la Bible, et en particulier ce qu’elle dit de la prise de Jéricho par Josué. {#Jos 6} Déjà, en 1931, John Garstang pouvait faire les déclarations suivantes: «J’ai fait creuser une douzaine de longues et profondes tranchées dans les flancs de la petite colline qui portait Jéricho, à deux kilomètres du village actuel d’El Réta. J’ai retrouvé les vestiges d’un premier rempart de pierres datant de 1800 avant J.-C., et d’une double muraille de briques, plus jeune de deux cents ans. La stratification de ces restes me permet d’affirmer que ces remparts se sont bien écroulés. L’étude des briques et du sol confirme, d’autre part, très nettement, l’incendie de la cité. On pourrait y recueillir des quintaux de cendres et de débris brûlés.»
Depuis 1931, les travaux se sont poursuivis toujours plus fructueux, pendant quatre ans. Voici les principaux résultats de ces travaux. Tout d’abord en ce qui concerne les fortifications de la ville. Elles étaient imposantes et susceptibles d’inspirer l’effroi aux Israélites, mal outillés pour un tel siège. Les remparts étaient formés de deux pans de murs parallèles, bâtis avec des briques séchées au soleil. Le mur extérieur avait deux mètres d’épaisseur, l’autre environ le double. Chacun semble avoir eu environ dix mètres de haut; un espace de cinq mètres les séparaient. Cependant la construction de ces remparts semble avoir été défectueuse. Les fondations, composées de plusieurs couches de pierres de différentes tailles et mal égalisées, avaient aussi leurs défauts. Ces imperfections expliquent en partie la rapidité avec laquelle les remparts, malgré leur largeur et leur hauteur, se sont écroulés.
Pour contester la réalité du miracle glorifié par la Bible, on a essayé d’expliquer la chute des murailles de Jéricho par des travaux de sape entrepris sur l’ordre de Josué. Mais cette supposition est inadmissible en face des fouilles qui ont révélé ce fait essentiel: Les murs de la cité sont tombés à plat vers L’extérieur. Citons à ce sujet Sir Marston: «En 1932, un examen minutieux du mur extérieur permet de constater qu’il avait glissé, ou qu’il avait été poussé sur la pente qu’il. dominait. Les débris accumulés à l’endroit que l’on supposait avoir été miné furent déblayés. On s’aperçut alors que les stries du terrain, à la fois sous les fondations et sur la surface où s’écroulèrent les murs, n’étaient ni brisées ni bouleversées par en dessous. Elles avaient seulement été éraflées de haut en bas par le poids énorme des murs écroulés.» (p. 160).
La Bible n’indique pas explicitement la force qui a provoqué la chute presque totale et simultanée des murs. Elle déclare seulement que cette chute s’est produite, selon la parole de l’Eternel à Josué au moment précis où, le septième jour, pour la septième fois, le peuple fit le tour de la ville. {#Jos 6:15-21} Mais rien ne nous empêche de penser, avec Sir Marston, que Dieu s’est servi d’un tremblement pour provoquer, au moment choisi par Lui, la chute des remparts. Lors du passage de la mer Rouge, Dieu «refoula la mer par un vent d’orient, qui souffla avec impétuosité toute la nuit; il mit la mer à sec et les eaux se fendirent». {#Ex 14:21} L’emploi du vent violent d’orient n’enlève rien à la réalité du miracle. L’hypothèse du tremblement de terre est d’autant plus vraisemblable que de tels phénomènes sont assez fréquents dans cette région. La dépression qui coupe la Palestine du nord au sud et aboutit à la fois à la plaine du Jourdain et à la mer Morte offre un champ propice aux secousses sismiques, preuve en soit le tremblement de terre de 1927 qui se propagea à travers cette dépression à l’est et à l’ouest. Les bâtiments à l’intérieur de la cité incendiée témoignent, comme les murailles, d’un même phénomène sismique. Au reste, le Psaume CXIV, {#Ps 94:1-7} qui fait allusion au passage du Jourdain par Josué fait nettement mention d’une secousse sismique: «Quand Israël sortit d’Egypte, quand la maison de Jacob s’éloigna d’un peuple barbare, Juda devint son sanctuaire, Israël fut son domaine. La mer le vit et s’enfuit, le Jourdain retourna en arrière; les montagnes sautèrent comme des béliers, les collines comme des agneaux. Qu’as-tu, mer, pour t’enfuir, Jourdain, pour retourner en arrière? Qu’avez-vous, montagnes, pour sauter comme des béliers, et vous, collines, comme des agneaux? Tremble devant le Seigneur, ô terre...»
L’épisode de Rahab trouve aussi une confirmation indirecte dans les fouilles du Dr. Garstang. Il est dit {#Jos 2:15} que la maison de Rahab «était sous la muraille de la ville». Les fouilles ont révélé qu’en effet des maisons étaient construites sur les remparts, ou plutôt à cheval sur les remparts de manière à relier les deux murailles, sans doute dans la pensée de fortifier les murailles, comme plus tard on construisait des maisons sur les ponts pour les rendre, pensait-on, plus solides. Il est probable que la maison de Rahab se trouvait près de la citadelle, dont les fondations étaient particulièrement solides et semblent avoir moins souffert du tremblement de terre que les remparts. C’est peut-être à cette proximité de la citadelle qu’il faut attribuer la facilité avec laquelle les espions envoyés par Josué purent s’échapper de la maison de Rahab sans être vus des collines voisines. {#Jos 2:15,16}
De Dr Garstang a pu vérifier ce que la Bible dit de l’incendie total de la ville. {#Jos 6:24} Il a constaté que «Jéricho fut systématiquement incendiée». On a trouvé des vivres dans les maisons, du blé, de l’orge, des lentilles, des oignons, des dattes, des morceaux de pâte, le tout réduit à l’état de charbon, par l’ardeur extrême du brasier, mais conservé ainsi pendant plus de trois mille ans. Ces témoins muets attestent l’authenticité des faits rapportés à propos de la destruction de Jéricho. Pourquoi ces vivres n’avaient-ils pas été ni pris, ni mangés par les envahisseurs? Le texte sacré fournit la réponse à cette question: «La ville sera mise à l’interdit et dévouée à l’Eternel, elle et tout ce qui s’y trouve». {#Jos 6:17} Nous lisons ensuite: «Seulement vous vous garderez de l’interdit, de peur qu’en prenant de l’interdit, vous ne vous mettiez en interdit, et que vous ne mettiez le camp d’Israël en interdit, et que vous ne le troubliez. {#Jos 6:18} Après cela, on comprend que les vivres n’aient pas été touchés.»
Encore un trait biblique, confirmé par les découvertes de Jéricho: «Josué dit au peuple: Tout l’argent et tout l’or, tous les objets d’airain et de fer, seront consacrés à l’Eternel, et entreront dans le trésor de l’Eternel.». {#Jos 6:19} Cet ordre fut exécuté fidèlement: «Ils brûlèrent la ville et tout ce qui s’y trouvait; seulement ils mirent dans le trésor de la maison de l’Eternel, l’argent, l’or et tous les objets d’airain et de fer.» {#Jos 6:24} Or, les archéologues ont été frappés, en étudiant les ruines de Jéricho, par l’absence totale de tout métal précieux, absence qui s’explique aisément par les interdictions que nous venons de rappeler.
Ainsi, jusque dans les moindres détails, les fouilles ont confirmé le texte biblique, établissant la véracité d’un récit particulièrement contesté. Le chapitre VI de Josué est l’un de ceux qui ont le plus servi aux attaques d’une critique sceptique; il devient maintenant l’un de ceux qui révèlent le mieux le mal-fondé de ces attaques.
Après la prise de Jéricho, ce fut le tour d’Ay (ou M). {#Jos 7} Cette ville avait été prospère au IIIe millénaire, nous disent les archéologues; elle était ensuite tombée dans une longue décadence. Cependant, au temps de l’invasion israélite, elle semble avoir retrouvé un certain éclat. Bien qu’elle eût donné aux espions de Josué l’impression d’être peu peuplée, {#Jos 7:4-5} elle avait douze mille habitants, hommes et femmes et était sous la domination d’un roi {#Jos 8:22,25}.
Le nom d’Ay qui signifie «ruine» et que la ville portait alors lui avait sans doute été donné au temps de sa décadence, consécutive à quelque grande défaite. M. Dussaud pense que le nom primitif de la ville, au temps de sa prospérité, était Beth-Aven dont il est question en #Jos 7:2, et qu’il faut traduire ainsi ce verset: c Josué envoya de Jéricho des hommes vers Ay, qui est dans Beth-Aven, à l’orient de Béthel.» Ce verset indiquerait que Ay avait été bâtie dans l’enceinte occupée autrefois par Beth-Aven. M. R. Dussaud écrit dans la «Revue de l’Histoire des Religions» (juin 1937): «Nous disposons de plusieurs textes d’où il appert nettement qu’il existait une ville de Beth-Aven, distincte de Beth-el, mais dans son voisinage. Dès lors, nous pouvons revenir à #Jos 7:2 et constater que, précisément, ce verset distingue très nettement entre Beth-Aven et Beth-el. Il n’y a donc aucune raison pour ne pas lui faire confiance.»
Voilà donc une nouvelle affirmation biblique, souvent contestée, qui vient de trouver une confirmation certaine et donner ainsi son appui, non seulement au récit de la prise d’Ay, mais à tout le livre de Josué.
Nous disons à ceux qui seraient encore septiques, que même l'archéologie confirme le texte Biblique. La Bible est vraiment la parole de Dieu!. C'est pourquoi, ce serait une grande erreur de votre part, de ne pas croire au message de la Bible. L'avez-vous lu? Nous vous invitons non seulement à le lire, mais aussi à croire au message du salut en Jésus-Christ car dans Actes 4:12 il est écit: Il n’y a de salut en aucun autre; car il n’y a sous le ciel aucun autre  nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être  sauvés. Répentez-vous et croyez en la bonne nouvelle!!
Si cet article vous a béni, veullez  laissez un commentaire.

Publié dans Les Vidéos

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article